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nepasdormir
19 novembre 2011

CENSURE

CENSURE

Lire dans les commentaires, la chronologie des événements.

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Commentaires
A
Tous les ingrédients sont rassemblés pour revoir en multiplex le procès contre « les Fleurs du Mal » de Baudelaire. Les propos du Procureur Pinard résonnent toujours dans l'ADN de certains.
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J
Sur le site FPDV (Formule Polyvalente à Diffusion Variable) de diffusion d’œuvres sur un thème donné ( en décembre : le rouge), deux de mes images ont été refusées sans explication. <br /> <br /> En ce qui concerne leurs justifications, elles ne m’intéressent absolument pas, elles relèveraient des arguments faux-culs des apeurés de la censure ou des pères la pudeur traquant leurs propres fantasmes.<br /> <br /> Ma réaction a été au plus simple, sans fioritures et surtout sans regret :<br /> "La Formule Polyvalente à Dilution Politiquement correct voudra bien me supprimer de la liste des artistes participants à leur blog."<br /> <br /> Le politiquement correct désigne une attitude, véhiculée par les médias, qui consiste à masquer, traquer et supprimer les mots, textes et images qui pourraient "attenter" à un public catégoriel.<br /> Le politiquement correct met ainsi en place une dictature intellectuelle imposant à tous les mêmes idées par la contrainte du même langage.
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J
Partout s’organise, au nom du politiquement correct, le MEURTRE de l’essence même de l’Homme : la subjectivité déclarée, assumée et revendiquée.<br /> Partout la Vérité de l’Être se doit d’être conforme aux modèles qui déterminent les fractures de partage et d'exclusion. <br /> Au nom de notre protection, "la morale*" s'arroge le droit de nous imposer ce que nous devons voir et dire.<br /> <br /> *morale d'état, civile et religieuse.
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B
J'ai depuis hier à mon profond regret une raison d'ajouter une pierre au débat : un de mes textes a été censuré sur un site se présentant comme littéraire, ayant pour partenaire une maison d'édition ayant pignon sur rue, ou pognon sur rue, je ne sais, ce texte uniquement composé de mots, rien d'autre, les pires pornographiques mots employés étant : main, mâle, s'enfoncer. Texte éjecté dans la zone interdit aux moins de 18ans (!), que je ne peux lire moi-même, car pour accéder à la zone il faut humblement en demander l'autorisation à une des admin. J'ai ouvert ma bouche sur leur forum, ils n'ont pas pris la peine de me répondre. Un mépris incroyable, une horreur. Je songe à me plaindre à Mitterrand.
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A
Blasphème, pornographie, atteinte à la dignité humaine, etc....... La BD passe aux filtres des censeurs vertueux dont la morale s’arrête là ou commence l’intérêt financier.<br /> http://www.asile.org/artistes/numero05/public-averti/lyon.htm
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